Vous souhaitez candidater à un master 2 en alternance pour la rentrée 2017 ? Participez à la campagne de pré-admission en cours.
Cette campagne est ouverte aux étudiants de l’USMB et des autres universités.
Merci de prendre connaissance de la notice explicative puis de remplir avec précision le formulaire vous concernant.

  • Master II mention droit public – parcours administration des collectivités territoriales :

La pré-admission est close.

  • Master II mention droit privé – parcours droit du dommage corporel :

La pré-admission est close.

  • Master II mention droit des affaires – parcours droit et contentieux de l’entreprise :

La pré-admission est close.

Attention ! la participation à cette procédure de pré-admission ne vaut ni admission ni inscription en master 2.

Inscriptions sur le site de l’USMB [cliquez ici]

Le 7 février nos étudiants du Master 2 Métiers du droit et de la justice étaient au centre pénitentiaire d’Aiton !

 
L’occasion pour eux d’être sensibilisés aux conditions carcérales, ainsi qu’aux métiers de la pénitentiaire (directeur d’établissement, surveillant, personnel d’insertion et de probation etc.).
 
La visite, effectuée par un surveillant formateur, permet aux étudiants de prendre connaissance du parcours d’un détenu entrant dans le centre. Ils découvrent les différentes structures, ainsi que les activités s’y déroulant.
 
Les étudiants conduits dans la maison d’arrêt, on pu voir les quartiers d’isolement, le quartier disciplinaire, l’atelier, le gymnase et les parloirs.
 
Cette action est organisée depuis plusieurs années par l’association du Master 2 Métiers du droit et de la justice et les responsables de la formation.

La taxe d’apprentissage constitue, pour nous, un levier économique indispensable à l’amélioration des conditions pédagogiques de nos étudiants.Pour verser la Taxe d’Apprentissage à la Faculté de droit :

  1. indiquez nos coordonnées à votre OCTA
  2. remplissez ce formulaire [cliquez ici]

Nous avons besoin de votre soutien !

+ D’infos

L’association Jurisentreprise a organisé cette année la sixième édition de son concours de plaidoirie Antoine Favre, du 13 février au 10 mars 2017. Le concours a toujours pour objectif de favoriser l’émulation, la recherche et l’approfondissement des connaissances juridiques, de faire la promotion du droit et d’encourager l’art oratoire. C’est un véritable complément pratique aux enseignements théoriques universitaires.

Vous avez été nombreux à vous déplacer à la salle solennelle de la Cour d’appel de Chambéry pour venir encourager les quatre finalistes. Merci à tous !

Toutes nos félicitations à Quentin Marchandise pour sa deuxième victoire consécutive.

Un grand bravo au trois autres finalistes.

Pour revivre cette finale [cliquez ici]

+ D’infos : [cliquez ici]

CONFÉRENCE
La protection des consommateurs au Brésil – Analyse d’un quart de siècle et regard vers le futur

Conférence par le professeur Adalberto de Pasqualotto, de l’université de Porto-Alegre.

Date : Jeudi 2 février à 13:30 – 15:30
Lieu : Amphi 530 / Domaine universitaire de Jacob-Bellecombette

Entrée libre dans la limite des places disponibles.

LICENCE 1 / Semestre 2

LICENCE 2 / Semestre 4

LICENCE 3 / Semestre 6

SÉMINAIRE
Enjeux théoriques, méthodes privées et retour d’expérience

Jeudi 16 mars de 13h30 à 17h30
Campus de Jacob-Bellecombette / Amphithéâtre A501

Séminaire co-organisé par le Centre de Droit Privé et Public des Obligations et de la Consommation (CDPPOC, EA 4143, Faculté de droit de l’Université Savoie Mont Blanc) et par l’Association Chambérienne des Jeunes Chercheurs en Droit (ACJCD).

Partenaire : CDPPOC
Programme [cliquez ici]
Ouvrage rassemblant les actes du séminaire en consultation libre et gratuite
[cliquez ici]

 

Journée du lycén 2016

Mardi 24 janvier 2017
9h – 16h
Domaine universitaire du Bourget-du-Lac

Réussir à l’université c’est d’abord réussir son orientation ! La « Journée du Lycéen » co-organisée avec les universités de l’académie de Grenoble, pilotée à l’Université Savoie Mont Blanc (USMB) par le Service d’Information, d’Orientation et d’Insertion Professionnelle (SCUIO-IP) est un des événements phare de l’année mis en place pour favoriser l’orientation et l’accueil des étudiant-e-s à l’université.

Si vous êtes intéressé-e- par des études en droit et/ou administration économique et sociale c’est le rendez-vous à ne pas manquer ! Des enseignants de la Faculté de droit seront présents pour répondre à vos questions.

+ D’infos [cliquez ici]

Contact : Service information et orientation de l’USMB, 04 79 75 94 15

CONFÉRENCE
Nouvelle(s) citoyenneté(s) et sensibilisation(s) aux enjeux des énergies renouvelables

Date : Vendredi 20 janvier 2017 de 18h30 à 20h30
Lieu : Bibliothèque de la Part-Dieu
Intervenant : Frédéric CailleMaître de conférences de science politique à l’Université Savoie Mont Blanc

Pourquoi ne parle-t-on jamais des premiers innovateurs en matière d’énergie solaire, que ce soit dès la fin du 19e siècle ou dans les années 1960-1970 ? Pourquoi n’enseigne-t-on pas leurs histoires, leurs surprenantes réalisations, et cela est-il sans liens avec nos difficultés globales à imaginer un avenir hors de la voie des énergies fossiles ?

C’est sur la base de ces deux questions qu’un chercheur en sciences sociales et que l’association Loire en Transition invitent à venir réfléchir sur le rôle des imaginaires et des savoirs en matière énergétique. Cette rencontre permettra d’évoquer des expériences originales de sensibilisation diverses questions aujourd’hui déterminantes : Pourquoi la question énergétique apparaît-elle toujours et seulement comme une « prérogative d’expert-e-s » ? Les citoyen-ne-s ordinaires ne peuvent-ils-elles avoir des compétences en la matière, des idées, des capacités de choix ? L’énergie solaire n’est-elle pas, comme annoncée désormais, la grande énergie du futur ? Mais sous quelle forme ? Le débat permettra d’envisager de nouvelles manières de changer les choses et d’interroger plus largement le rapport des citoyen-ne-s à l’environnement, l’opposition entre celles et ceux désigné-e-s comme expert-e-s et les citoyen-ne-s qui veulent faire valoir des compétences et des choix.

CONFÉRENCE DE VIE POLITIQUE COMPARÉE
26 janvier 2017
13h30 – 15h30
Amphi 3 – Campus de Jacob Bellecombette

Entrée libre

Daniel Ibanez, dirigeant d’un cabinet de conseil et économiste dans le domaine des procédures collectives, s’est intéressé au projet de ligne à grande vitesse Lyon-Turin à partir de l’ouverture de l’enquête publique de janvier 2012. Ses recherches l’ont amené à questionner les méthodes d’expertise et de décision actuellement utilisées lors du lancement de grands projets. Après un premier ouvrage remarqué sur le fond du dossier, paru en novembre 2014, il a publié en octobre 2015 une « Lettre au juge administratif » qui interroge, sur la même matière, les divers modes d’interventions hors des cadres procéduraux des autorités publiques. C’est principalement sur ce thème et la question du droit à la critique publique en démocratie qu’il interviendra devant nous.

+ D’infos :

  • On peut voir, sur les principaux éléments soulevés sur le fond du projet, la brève présentation suivante [cliquez ici]
  • Plus longuement, sur les réactions aux interventions de Daniel Ibanez, etc. [cliquez ici]

La Commission a déjà indiqué que le tunnel de base, international, était « éligible d’un cofinancement européen à hauteur de 40 % ». Soit près de 3,5 milliards d’euros sur les 8,5 milliards d’euros (en valeur 2010), estimés pour les 57 kilomètres de la section transfrontalière entre Saint- Jean-de-Maurienne (Savoie) et la région de Suse en Italie. Le reste de la somme est réparti entre l’Italie, 35 % (2,9 milliards), et la France, 25 %, qui devra ainsi débourser 2,1 milliards d’euros, une gageure en temps de disette budgétaire. D’autant que, de part et d’autre du tunnel, chacun des deux pays devra investir de fortes sommes pour assurer les infrastructures d’accès et de liaison locale. Dans un rapport plutôt critique, en novembre 2012, la Cour des comptes notait que « l’estimation du coût global est passée, en euros courants, de 12 milliards d’euros en 2002 à 26,1 milliards, selon les dernières données communiquées par la direction générale du Trésor ». (…) Une chose est sûre : si l’Europe ne finance pas, le projet ne se fera pas. « Il est peu probable que l’Europe dise “jamais”, mais il peut y avoir une révision à la baisse, avec un financement à 20 % seulement ; ou qu’elle renvoie le projet à plus tard », estime Hubert du Mesnil, président de Lyon-Turin Ferroviaire (LTF), qui préfère mettre en avant la dimension environnementale du projet, avec « la réduction de près de 40 % de la part du transport routier dans les Alpes ». Les opposants, eux, continuent de batailler. En décembre 2014, saisi par les députées européennes d’Europe Ecologie-Les Verts Michèle Rivasi et Karima Delli, l’Office européen de lutte antifraude (OLAF) a « ouvert une enquête concernant le projet ligne à grande vitesse entre Lyon et Turin ». Une petite victoire pour les opposants, probablement insuffisante face à la volonté des deux États de percer le massif d’Ambin.

Extrait du dernier article consacré au sujet par le journal Le Monde, 17/02/2015